MOUHAMADOU LAMINE C CISSE

1980 –

95

Who is MOUHAMADOU LAMINE C CISSE?

...L’asile psychiatrique

Cependant que les effets nauséabonds et pathologiques me plongeaient d’abord à l’issue de cette garde à vue dans une sorte de malaise léthargique, c’était à la fin des relents psychologiques que mon internement devenait incontournable pour l’hôpital psychiatrique à Charcot.

Le 07 juillet 2011, consécutivement à l’issue de ma détention au centre de rétention administratif de Rennes, je découvrais en toute logique le monde psychiatrique. Là où les mouvements étaient saccadaient et les silhouettes blafardes et perturbées sous le coup des anxiolytiques et des psychotropes. C’était un autre monde parfois apaisant parfois pesant. Mon mal être persistait dans cet asile à l’heure où je doutais de tout et de tout le monde. Et les soignants pouvaient le constater. Ce qui altérait mes jugements et mes appréhensions. Les entretiens avec mon psychiatre étaient confrontés à cette réalité et ce constat. J’étais profondément miné par les effets secondaires dus au poison et perforant les liens et la confiance. Les harcèlements sévères subis ainsi que les persécutions psychologiques avaient profondément déréglé mon système psychique. Le praticien me conseillait de me faire à l’idée que j’étais en sécurité et que dans l’hôpital l’ensemble du personnel concourait à mes soins et était soucieux de mon bien être. Moi je ne voyais toujours que l’envergure de l’administration policière surplombant tout le reste du service public. Je voyais des policiers et la main policière partout. Les combines et les manœuvres policières j’en faisais des cauchemars au point que je n’entrevoyais pas d’issue au fond de ce gouffre sans fin. Parallèlement, je combattais toute idée de démences. Il me fallait peser et soupeser soupçonneusement tout jusqu’au point de cacher mes émotions et mes ressentiments. L’idée de laisser entrevoir que j’étais fou me mettait dans tous les états. Quand au fait d’avoir atterri au sein de la cellule de soin psychiatrique de cet asile, je le devais à la seule confiance que j’avais à une personne de l’équipe soignante chargée de mon suivi au centre Blanqui. J’étais là lancinant et souffrant. Je ne devais pas en avoir honte puisque bon nombre de personnes plus importantes que moi avaient connu l’étape de l’asile psychiatrique. L'enfermement était une logique du mal que je vivais. Je faisais en sorte de ne laisser paraître que les stigmatiques apparents même lors des séances de suivies et de psychothérapie. Il fallait pour moi mesurer mes émotions et cloisonner au débit mes révélations car l’idée d’être interpellé ou agressé était aussi une angoisse profonde en moi. Tout devait se faire à temps au bout des recherches analytiques ainsi qu’à la force des intuitions. J’enfouissais toutes ces choses et je ne décrivais que l’allure de mes maux aux psys tout en recueillant en retour les conseils de ces professionnels de santé mentale. J’étais là parfois solitaire parfois mélancolique au fond d’un abîme dépressionnaire.

L’isolement du monde extérieur en plus des soins m’aura énormément été bénéfique. La prise en charge par une équipe bienveillante avait sans doute contribué à ce que je retrouve la stabilité et d’entrevoir la conquête de mes rêves brisés. J’emmagasinais l’énergie nécessaire pour me confronter aux réalités de l’environnement extérieur qui m’était jadis hostile. Je sortais en fin août de l’asile psychiatrique avec un projet ambitieux, celui de me consacrer à nouveau à mes études après deux années de ruptures. Certains participeront essentiellement à cette motivation après que l’équipe de soignants m’en ait donné les ressorts psychologiques nécessaires pour se faire. Ils ont su me convaincre de retourner sur les bancs pour obtenir mon diplôme de licence. Ils croyaient en mes capacités. Pour ma part je ne doutais pas de mes aptitudes, mais au fond de moi les frustrations étaient encore profondes en moi à la suite des matraquages scolaires que j’y avais subi. L’idée de retourner sur les bancs dans l’attente d’une échéance judiciaire qui m’opposait à l’université était audacieuse lorsque l’on savait toutes les pressions qui étaient orchestrées pour espérer étouffer l’affaire ou tirer profit de mes faiblesses. Je n’étais pas aussi naïf que cela à ce sujet. Je m’attendais à me confronter aux méthodes et à toutes les manœuvres qui viseront à me mettre les bâtons dans les roues. Il ne suffisait pas que de voir le déferlement de l’informel et de ces méthodes affairant au sein de l’administration policière de la circonscription du Morbihan, il fallait prévoir bien des tentatives déloyales de la part des instances de l’administration universitaire qui ne se priverait pas de jouer de sa partition pour entraver le cours d’éventuels processus judiciaires.

Pour ma part j’étais prêt psychologiquement et mentalement pour y faire face. On m’adjoindra un maximum de concentration pour parvenir à mes objectifs d’autant que je n’avais plus que trois matières et un projet de bureau d’études à repasser pour valider le diplôme. J’étais fin prêt pour relever le défi. Au fond ce n’était pas compliqué en soi ou du moins je n’envisageais aucune difficulté intellectuelle pour y parvenir.

Je m’engageais sur ce sentier en essayant de banaliser toutes les réalités environnantes et ambiantes. Je m’étais même résolu à crée un état d’esprit qui ne viserait qu’à relativiser les événements et les circonstances des faits divers qui seraient mis en scène.

Surtout à commencer par l’appréhension que je me devais de faire des mises en scènes. Je débuterai certainement par celui qui m’interpellait juste avant mon internement chez le juge de la détention et des libertés de Rennes. Mon état d’esprit de la rentrée universitaire m’amenait à ne considérer que des conclusions positives de ce fait divers.

La vérité c’était que j’étais ce pauvre qui était confronté à un litige qui pouvait perdurer contre une toute puissance de l’administration de l'Etat français. Les réalités judiciaires étaient trop souvent longues et éprouvantes. L’hypothèse que je sois tenté à la facilité et aux renoncements des valeurs n’étaient pas à écarter. Le fait était tenable. Il s’agissait pour moi d’avoir cette perspective en tête et de faire tout pour ne pas décevoir mes principes et les valeurs même dans l’adversité.

Cette infortune était certaine puisque je n’arrivais pas à payer entièrement mes droits de scolarité en licence troisième année en génie mécanique.

Ce qui allait fortement contribuer à l’accentuation des pressions de l’administration universitaire qui n’allait pas manquer de s’agripper sur cet état d’infortune et de situation.

Mais c’était sans compter sur ma motivation ainsi que ma détermination pour braver tous les états d’âmes qui pouvaient volontairement ou hasardeusement mis au travers de mes ambitions.

J’abordais l’année scolaire forte de ces dispositions mentales et psychologiques pour affronter les épreuves tout en étant concentré sur mes objectifs de réussites universitaires à l’UBS.

Une fois que je refoulais à nouveau les cours de l’université, l’idée que je me faisais des situations aux qu’elles j’allais être confronté se concrétisait au fuir et à mesure de mon intégration. L’hostilité et le harcèlement moral étaient devenus des réalités journalières teintées de peu et parfois des tentatives d’amadouement et le tout sur les effets de lectures de mes pensées.

LA SOURIS DE LABORATOIRE AU NON DES CONDITIONNEMENT

Il aurait fallu un animal, n’importe lequel enfermait dans une cage et qui ne soit qu’en rapport avec les supports servant au conditionnement.

C'est-à-dire qu’il aurait fallu imaginer cet être vivant démuni à la merci des informations qu’on lui alimente en observant scrupuleusement les réponses de ces réactions cognitives. Lorsque celles-ci ne convenaient pas aux maîtres, il aurait le droit de jouer sur les méthodes et les chaines d’alimentation pour espérer conduire l’animal à l'état psychologique et cognitif recherché. Ces pratiques pourraient être assimilables aux méthodes d’aliénation. En effet, le tout consiste sur la qualité et la quantité encore une fois encore. C’est pourquoi il était aussi sérieux que la qualification de ce genre de dresseurs mental soit des scientifiques de tout univers confondu plutôt que des politiques, je veux dire techniquement qu’il était obligé qu’ils appartiennent à la chaine d’un système déjà constitué. Dans mon cas je parlerai de la politique des autorités qui ont participé à l’instauration collégiale de la cause des policiers du commissariat et des chercheurs de l’université confondant ainsi leurs intérêts.

En réalité, au fond de ma bulle où j’étais finalement reclus en vivant péniblement ma dépression tout était pourtant hermétique. L’opacité faisait que mon appartement était sombre et noir de tout espoir. Mes volets étaient fermés en permanence. Puisque les ruptures de liens étaient déjà une conséquence des accumulations subies, le monde extérieur était presque coupé de mon environnement. Dans mon appartement, la télévision, la radio et un ordinateur devenaient les seuls outils qui me reliaient au monde extérieur une fois que l’électricité a été rétablie en septembre 2011. Je me morfondais à écouter les informations qu’on diffusait à profusion à travers les canaux de signal hertzien ou satellitaire. D’autre part, internet me permettait de naviguer virtuellement à travers le monde. Je m’en servais aussi pour l’information et quelques fois pour communiquer en consultant mes courriels ou en me connectant sur le réseau social. C’était devenu les outils incontournables de mon quotidien. Il allait de soi que je consommais cette information et ces moyens d’évasion à longueur de journée sans pour autant sonder d’abord leur fiabilité. A cela il fallait comprendre la qualité de l’information bien sûr. C'est-à-dire à ce qu’elles ne soient pas corrompues, travesties ou altérées.

Au fur à mesure cette impression renaissait en moi. L’impression que les émissions de radio pouvaient être parasité et flouté de façon que je reçoive les messages subtiles ou directes de mes détracteurs. Je n’avais d’abord parlé à mon psy bien avant mon internement. Mais ce constat persistait et subsistait à chaque fois que je m’enquérais des chaines de la radio ou de la télé. Je vivais très mal cette situation. C’était comme ce cercle vicieux que je décrivais. J’étais englué dans ce tourbillon. C’était encore pire même dans ma bulle. Les émissions de télé ou de radio transfusaient des voix qui s’adressaient à moi directement. Je me suis dis que ce système ou cette administration avait pu trouver un moyen de s’emparer d'une antenne pour brouiller et parasiter les chaines sur lesquelles je concentrais mon attention pour suivre l’actualité ou pour me divertir. C‘était tout à fait insensé au fond. Mais certains événements marquants et déterminants m’amèneront à fixer ce constat comme étant une réalité évidente que je vivais.

Par voie de conséquence, je citerai un événement qui faisait suite à ma plainte contre le commissaire POLLOZEC en partie auprès du procureur de la République. J’évoquais le fait de la présence du policier au restaurant du cœur, les émissions ont évoquées un fait divers occasionnant le braquage d’une camionnette par des populations qui étaient déterminés à chercher des policiers dans le véhicule.

Un autre fait fera intervenir cette fois-ci clairement des voix et des personnes qui ne m’étaient pas inconnues, celles de leurs alliés de la mosquée. Le fait était que Abdel qui en est le président revendiquait lors d’une manifestation « qu’ils » en tant que membres de l’association avaient mis le bazar dans mes affaires concernant le litige administratif.

Ce qui était sûr, c’était que tout le monde confondu semblait prendre part à ces torrents de diffusions radiophoniques et télévisuelles qui m’étaient destinées. Le fait était que la plupart du temps, j’avais comme l’impression qu’on envoyait des informations attentatoires ou pour me sonder afin de recueillir mes réactions cérébrales ou cognitives. Au fur et à mesure, cela devenait un jeu pour mes détracteurs. Je n’avais plus l’impression mais je vivais le phénomène d’être un animal de laboratoire.

A cela, il était important que j’arrive à dire avec précision les moyens et les causes qui m’ont conduit au cercle vicieux du conditionnement jusqu’à me suffire à ce mode de communication qui me poussait à déchiffrer des codes et des symboles qui m’étaient subtilement et discrètement destinés. En réalité je ne saurais dire avec précision à partir de quel moment j’ai succombé dans cette spirale. La configuration et la cristallisation autour de moi faisaient d’abord que j’étais obligé de recevoir les informations de cette manière. Parce que la peur des uns et des autres me tenait en distance de ces personnes et de cet environnement comme si on ne pouvait communiquer avec moi que par ces moyens. Les baffons de ce langage mettaient souvent à rude contribution mes activités cérébrales psychiques. Ce qui faisait que j’étais trop souvent exténué et lessivé cérébralement et physiquement. C’était le corollaire de l’aliénation mentale que je subissais à travers ses médias ou ces émissions radiophoniques ou télévisuelles. C’est à dire que la fatigue décadente ainsi que le surmenage découlaient de ces tourments. Et l’enfermement psychique s’en était sorti plus renforçais tandis que cela a été la germination d’une brèche béante pour mes adversaires. Ils savaient user et abuser de ce fait puisqu’en plus de pouvoir lire mes pensées ils avaient enfin le luxe d’interférer et d’interagir par rapport à mes flux nerveux et cérébral.

A l’image des techniques d’infiltration, mes adversaires avaient le loisir et l’habitude de s’immiscer sur mes pensées sans pour autant que j’arrive à les distinguer des personnes que je considère comme une sensibilité qui m’était acquise en usant des mêmes codes parfois ou en se révélant à travers ceux qui leurs étaient propres. Il n’existait aucun capteur ou des balises qui me permettaient de différencier les signaux. Je ne pouvais me lancer éternellement dans les incartades qui me permettaient d’inhiber mes pensées à ce que personne ne les viole ou n’y accède. Ces personnes, ces sensibilités qui m’incitaient à chanter ou à écouter de la musique à longueur de temps n’avaient pas idée que cela ne servait à rien.

La gêne c’était surtout lorsque je me livrais dans mes souvenirs ou des désirs impliquant une personne lambda ou un proche. J’imagine encore le cauchemar et la gêne occasionnée pour la personne à tort ou à raison. La véritable nuisance, c’était que je subissais en permanence le viol de mon être profond. J’avais tenté sans succès de m’imaginer des mécanismes de défenses psychiques au-delà de la pratique des chansons et d’autres modes d’évasion psychique pour lutter contre ces invasions et ces attaques. C’était une source d’erreur en plus, puisque si l’objectif est pour eux d’arriver à me mettre hors jeu physiquement et psychologiquement, je participais moi-même sans le savoir à mon exténuation mentale et moral. Je devais me résoudre que j’étais le prisonnier ambulant du système en place. Un prisonnier ambulant à la fois importunant et trop gênant pour moi-même et pour les autres.

Le retard sur les perceptions de signaux environnants ainsi que les agressions extérieurs était infinitésimal. Bien que je savais enfouir les émotions, je mourais et saignais de leurs tessons aiguisés sans le montrer. Il ne fallait plus que je quitte des yeux l’objectif de mes adversaires et de lutter à ne pas craquer en fragments.

C’était ainsi que j’ai été amené à comprendre la logique du chantre de la négritude. Le président Léopold Sedar Senghor se plaisait à dire qu’il s’efforçait à lire tous les matins les journaux y compris ceux de l’opposition. Il n’existe pas d’opposition ou d’adversaire politique tendre avec son rival. Les critiques et les agressions sont parfois d’une extrême violence. Pour un vrai animal politique, il s’agissait d’aller au-delà des souffrances qu’ils pouvaient infliger. Il est important de tirer enseignement des attaques de l’opposition de façon à s’affranchir de ses propres barrières et celles des autres.

Cette même logique intellectuelle et politique s’apparentait à celle d’une figure politique et un symbole. Le détenu Nelson Mandela avait compris les bienfaits de cette transcendance indispensable qui à elle seule permettait de nous « libérer de nos carcans ».

En ce qui me concernait, il n’y avait plus de honte à dire que j’étais traité comme un animal.

Car même au plus profond de mon intimité, la violation était plus qu’une réalité.

Quand aux respects relatifs à l’intimité et à la dignité d’être humain, je crois encore qu’ils étaient une utopie me concernant. C’était très dur que de savoir qu’on pouvait être épié à ce point et livré perpétuellement à l’attention publique comme un panneau publicitaire.

Il était encore plus pénible qu’il y’avait des foules qui s’en délectaient à cœur joie.

Mon mérite n’aura été que de faire en sorte de ne pas me renier. Le suicide aurait été inévitable. Je laisserai aux esprits éclairés et aux initiés de la science psychiatrique et psychologique pour analyser au fond qu’elles sont les raisons qui ont contribuées à ce que je n’en arrive pas à cette étape.

Si « l’énergie du désespoir » de madame Quentin constituait ma seule ressource à une éventuelle survie, je pouvais encore avoir l’espoir que je pouvais nourrir l’espérance de mener la reconquête de mon honneur et de ma dignité. Ce qui était patent et plausible, c’était d’avoir conscience de l’inhumanité de ces gens. Pour tout le reste, il s’agissait de l’élaboration d’une conquête.

Celle qui passe par la justice. Celle qui me réconciliera aux idéaux des valeurs universelles.

Mais comment conquérir tous ces projets alors que je suis pris de toute part ?

Peut être que ce sera irrémédiablement par le même biais des signaux, du langage et des déchiffrements de symboles imbriqués qui s’en suivaient que cela se fera.

Mais lorsqu’il m’arrivait d’entrevoir en perspective au fond de mes pensées ces projets ambitieux, il m’arrivait de comprendre par des moyens logistiques que c’était « TOUPARGEL ». C’est dire combien le système administratif en place et dans lequel je suis noyé au fond était déterminé à me malmener.

Evidemment que les portes étaient volontairement cadenassées par le système souverain. Ces « gens d’ici » avaient leurs propres mœurs lors de litiges. Il m’était impossible de trouver du travail parce que cette incapacité était due au fait que j’étais devenu un sans-papier et que cet épanouissement ou cette liberté n’aurait pas arrangé les projets de mes adversaires, ce à quoi la préfecture a été vachement indispensable.

Entrevoir la providence d’un bienfaiteur ou d’une bonne volonté qui m’aurait facilité cette éventualité était quasi impossible tant la peur du système de barbouze affolait les sensibilités.

Je pouvais mobiliser les foules car au fond ils étaient soucieux de ma sécurité. Partout c’était « TOUPARGEL » comme tout était gelé partout et que nul ne savait d'avance les intentions cachées d'un tel engouement.

J’en étais venu au retranchement, séparé du monde extérieur et reclus comme si c’était le seul moyen de me protéger des agressions et non pas peur de subir une éventuelle attaque physique. Il y’avait cette perte de goût totale qui a été progressive pour l’engouement à toutes les activités y compris à tout, tout court.

A la psychologue, je parlais de cette carence de goût et de motivations qui a suivi une évolution latente puis totale.

Je n’allais plus faire du footing à l’étang. Mes seules sorties étaient pratiquement tournées au seul impératif socio-médical. Les rendez-vous hebdomadaires au centre de psychologie de Blanqui me permettaient de me frotter à l’extérieur sur le chemin.

L’impératif social avait été de me rendre en cours à l’université jusqu’à la fin du mois de décembre 2011 pour valider le premier semestre qui manquait pour l’obtention de mon diplôme.

La nécessité médicale consistait à me rendre aux consultations psychologiques auprès de l’équipe soignante.

Avant la période de noël 2011, j’avais lutté de toutes mes forces à ce que la concentration nécessaire ne me fasse pas défaut pour honorer mes évaluations aux examens et aux contrôles. Cette concentration était devenue obsessionnelle. La réalité pour ne pas dévisser de cette cime d’attention a été plus que difficile à l’université.

Les séances de travaux pratiques ou dirigés étaient des épreuves psychologiques et mentales. Il me fallait puiser au fond de mes ressources et de mes moyens pour me surpasser. Face aux harcèlements moraux, je me devais de rester stoïque encore et encore pour ne pas provoquer un drame. C’était comme si l’université était une cour de collège, où les enfants ciblaient les plus faibles dans un acharnement plus qu’aberrant.

Les étudiants étaient conditionnés à s’en prendre à moi que les parties de diatribes étaient aussi vives que les feux ardents et époustouflants. Quelques fois, la maîtrise m’avait permis de ne pas en arriver au pire. En effet, j’étais souvent physiquement plus imposant que mes agresseurs. Je faisais en sorte qu’il n’y ait pas de confrontations frontales. Le mépris aussi aurait servi à cette conduite. J’étais aussi résolu à ne pas laisser emporter lors des épreuves de dénigrements et de déstabilisation.

Mais le pire, c’était lors des devoirs surveillés ou dans la période des épreuves d’examens nécessitant une parfaite concentration.

Puisqu'on se plaisait de lire mes pensées, c’étaient les moments idéaux pour chercher à tout prix à interférer sur mes pensées en me perturbant.

Jusqu’où ils étaient prêts à aller ? Quel en étaient les enjeux qui provoquaient de tels agissements?

Je ne pouvais avoir de cesse d’avoir à l’œil que leur objectif principal était de me faire « péter un plomb ».

Quand je tablais sur ma copie pour traiter une épreuve, il y’avait comme un dispositif en place pour surveiller le flux de mes pensées et de se donner le droit de me perturber. Les chahuteurs bruissaient des couloirs à proximité.

Chaque épreuve mobilisait ce monde dans les allées environnantes de la salle de cours au sein de l’université. C’était aussi en quoi l’empoisonnement leur à été vivement favorable.

A l’heure des épreuves, les conspuassions étaient une norme à l’heure où la concentration était penchant sur les copies d’examens. Mes pensées précédaient logiquement comme très souvent mes actes, je ne regrettais pas les réactions extérieures déstabilisantes en interférences à celles-ci. Chacun pouvait y jouait pour sa part, les professeurs et les administrateurs eux se chargeaient de jouer d’autres mises en scènes plus subtiles.

Monsieur BEDEL ou plutôt monsieur dysfonctionnement était le plus actif en la matière. Il croyait que le fait de simuler aléatoirement nos rencontres sur les allées de l’université allait inciter ne serait-ce que des bribes de réaction de ma part.

Quand à monsieur CADOU, il parvenait à simuler pour sa part à ce qu’on se retrouve dans la même salle. J’étais dans une salle informatique libre dans la conformité de l’emploi du temps des salles pour les nécessités de la réalisation de mon projet bureau d’études, PBE.

A onze heures du matin passées, je voyais débarquer un groupe six étudiants de master 1 génie mécanique qui prétextaient de la sorte avoir cours avec ce professeur. Il était lui-même en retard car disaient-ils, il était allé chercher son enfant à l’école. Il arrivait au bout de quelques instants dans la salle. Je comprenais à chaque fois la combine. A tous ceci, il convenait le mépris comme arme absolue.

Et je pouvais continuer mon travail de conception et de simulation numérique sur solidworks. La provocation était parfaite d’usage mais comme à chaque fois elle ne recueillait pas de réponse de ma part. C’étaient des tentatives infructueuses qui laissaient place aux dénigrements et aux injures ça et là. Parfois j’avais l’impression qu’elles étaient trop souvent confondues et contingentes aux chantages et aux amadouements.

La stratégie pertinente aurait été de procéder par la production d’autres méthodes différentes de celles qu’ils employaient en abondance.

Ils soufflaient le chaud et le froid en même temps. Les chercheurs et les scientifiques étaient tellement rassurés du soutien et des passe-droits qu’ils se perdaient dans leur manœuvre de persécutions psychologiques.

En effet, les plus avisés comme Nicolas Machiavel aurait préconisé de jouer sur le débit et l’alternance temporelle de ces tempérances contre l’ennemi. Mais ils étaient tellement nombreux et forts que certains les échappés tant qu’ils arrivaient à faire d’une entité singulière et beaucoup trop faible qu’ils n’envisageaient que la seule issue que ça finirait absolument par craquer un jour ou l’autre.

En effet, le conditionnement n’était donc pas qu’au niveau de l’apprentissage d’un langage par la réception de sons et d’images ainsi que des codes et des lettres. C’était le fait de subir ces informations tambourinant mon système psychique. C’était aussi par ces comportements au cœur de l’université et à proximité du laboratoire de recherches Christian Huygens.

Dans ma chambre close et opaque; la frénésie des émissions de télé, de la radio et les manœuvres de l’information était déferlante. Tout le reste des effets de conditionnement se passaient dans cette petite unité assimilable à un laboratoire de recherches microscopique.

Auparavant, on s’était déjà ravi de me faire comprendre que mes comptes de messageries électronique étaient piratés et épiés à la pièce. Il ne fallait pas trop rêver car j’avais commencé par évoquer des faits d’histoires qui avaient vu un désintéressement total des consciences morales et des sensibilités qui s’étaient réservé le droit à l’abstention comme un droit politique et électoral. C’était aussi probable que c’est tout aussi cohérent lorsqu’il n’y avait aucun intérêt pour eux.

En ce qui me concernait, je savais que la réception de ces chaines de télé ou de radio brouillées et parasitées ne pouvait provenir que de l’existence d’n outil technologique satellitaire ou numérique. Concernant les panneaux publicitaires ou les chaines d’informations de certains sites que je pouvais être amené à consulter sur la toile, ce n’était qu’une facilité des moyens déployés par un centre de recherches scientifiques universitaire ou un service administratif policier. Je ne pouvais que les accuser et en amortir le ressenti offensant, blessant et heurtant mon cœur et mes émotions. Ces manœuvres similaires aux travaux de laboratoires étaient percutantes et flagrantes. Elles offraient le choix à l’expression libre à tous et à tous leurs alliés dont cette frange active de l’association culturelle. N’est ce pas que le président de cette dernière, Abdel et sa bande revendiquaient qu’ils étaient un gouvernement en soutien à l’Etat français.

Tous ces enregistrements, je les ai encore résonant dans les circuits de mes synapses comme les cauchemars de mes nuits intarissables.

Qu’on bafoue ma liberté, qu’on bafoue ma dignité. Qu’ils portent atteintes à mes droits et à ma respectabilité. Qu’ils me trainent dans la boue. Qu’ils me conspuent. J’entendais à hue et à dia les intrusions attentatoires, sur ma vie privée, sur ma famille, allant jusqu'à toucher mes parents ainsi que mes proches. La réalité c’était toujours que j’étais ce prisonnier ambulant avec lequel chacun pouvait essuyer ces bassesses et ses humeurs.

Ces hommes se voyaient tellement surprotéger par les autorités en place que rien n’était abusif à leurs yeux. Pendant mon séjour en hôpital psychiatrique; j’avais rencontré par hasard un ancien spécialiste des technologies satellitaires et des radars de l’arsenal. J’étais allé lui poser la question à savoir si l’Etat où plutôt les autorités locales représentatives avaient les moyens de détourner une réception hertzienne ou satellitaire de façon à pouvoir interférer sur celle-ci en les parasitant. L’ancien spécialiste m’a confirmé que ce n’était qu’un jeu d’enfant à ce niveau.

C’était largement suffisant pour mon entendement sans pour autant que j’évoque mon cas ou mes ressentis. Parce que pour ce qui me concernait, il fallait mener un travail d’envergure pour démêler les choses et les informations de ces émissions que je réceptionnais.

Qu’il faille que je me console pour l’instant que j’étais cette souris de laboratoire !!!

Ces travaux laborantins de lectures de pensées et d’interférence sur celles-ci s’accompagnaient de bruyantes jubilations sonores dans la ville.

Quelques fois c’était au tour des sirènes de police ou de sapeurs pompiers représentatifs du ministère de l’intérieur qui jubilaient des hauts hurlements de leurs sirènes. Quelque fois c’était les sirènes de la logistique municipale ou hospitalière symphonisant l’euphorie ambiante. Ces symphonies sonores étaient fluctuantes en rapport aux flux de mes pensées dilettantes.

A l’échelle microscopique, dans mon quartier, les parkings à proximité de ma résidence offraient le même spectacle musical à chaque flux de pensées. J’étais toujours déchiré et heurté dans ma sensibilité. Surpris à chaque coup de klaxon que je ne pouvais sursauter de peur ou d’hantise. Ce n’était plus une impression que j’avais, la vérité c’était qu’il régnait une manifestation de sympathie en opposition aux manifestations d’oppressions jouissives musicalement. Ce tiraillement entre mes détracteurs et les personnes qui étaient sensiblement acquises à ma cause déferlait mon attention. Le ressentiment que j’étais esseulé et seul au monde n’était que le fruit mélancolique de ma solitude. J’étais soutenu par je ne sais qui et qui d’autre discrètement mais très certainement en toute évidence.

Avez-je semé des graines dont j’ignorais la germination bénéfique dans le passé sans m’en compte ?

Avais-je rencontré des hommes et des femmes dont la générosité et la bonne volonté primaient sur toute autre considération sociale, ethnique au point que j’ignorais leur existence au fond de ma bulle.

Je ne pouvais comprendre même à ce jour, comment se faisait-il que je sois abrité au chaud depuis des années maintenant tout en étant en défaut de paiements ?

L’idée que des hommes et des femmes de l’ombre constituaient les architectes de l’ombre de ma destinée me turlupine.

Je ne saurais encore répondre à ces questions qu’à l’idée que je me fais de la suite de mon histoire. Celle qui consistera à ce que j'écrive la suite avec ces hommes et ces femmes d’honneurs qui ont les valeurs de l’humanité.

En attendant, je suis toujours plongé dans la spirale médiatique asphyxié par les propagandes et les méthodes du système tel ce pauvre plombier innocent et plus que naïf qui a vu les tenailles d’un étau se resserrer sur lui. A cette époque, j’’étais encore à l’hôpital psychiatrique lorsque ce fameux article m’interpellait sur la personnalité du substitut du procureur de la République de Lorient dans le ouest France. N’avais-je pas dit que les autorités judicaires et policières avaient le droit à une rubrique spéciale dans les médias. Qu’en est-il de la pertinence des faits-divers ? Quel est l’intérêt d'un tel système et l’existence de pareilles méthodes d’un autre âge ? Le fait est que nous vivons dans un Etat de droit est que les valeurs d’exemplarités institutionnelles ou administratives exigeraient d‘éviter toute ventilation mécanique abusive nauséabonde et excessive irrespectueuse de la loi et des règles.

On n’avait pas besoin de recourir à la science de la plomberie pour comprendre que même l’étanchéité de système de corruption ou de barbouzes n’était pas à l’abri d’éventuelles fuites.

Le risque d’érosion et de corrosion peut être prévisible de part et d’autre.

Ce n’est qu’ainsi que je comprenais que l’existence de tel système au service des intérêts politiques ou par affinités corporatistes à d’autres intérêts personnels discréditer l’image de toute une institution.

De là on ne parlera plus de dichotomie ou de multipolarité de la police ou de la justice défaillante, il sera une fois question de préserver l’image de cette institution reluisante et réputée de crédibilité et de confiance. Il sera nécessaire de mettre en exergue les quelques volontés nuisibles à son image. L’existence de ripoux ou de barbouzes ne ternissaient pas pour autant l’image de la police, o combien indispensable pour notre sécurité et pour l’ordre de nos sociétés. Je serais certainement le premier à en louer la perspicacité et l’utilité efficiente de ces services juridiques ou sécuritaires. Tout comme la France et le pays des droits de l’Homme, ce pays à l’honneur d’avoir une justice et des institutions réputées indépendantes et de qualité même si quelque fois aucun système n’est à l’abri de corruptions et de comportements reprochables. Après tout c’est tout l’enjeu de la transparence et de la démocratie.

Pour ce qui était des discriminations. Il ne m’en tombera jamais les armes des bras pour m’en méfier comme une peste. Les affaires de discriminations étaient trop sensibles aux yeux du parquet de Lorient à mon infime connaissance. A chaque fois qu’il a été question de traiter ce genre d’affaire qui pouvait opposer l’administration à une personne lambda, la banalisation avait été de rigueur.

A cela, je ne pouvais avancer autant d’exemples pertinents et avérés pour appuyer mes arguments que celle qui aurait vu madame Mettetal opposer comme par hasard à la même administration universitaire de l’UBS.

Lorsqu’il aurait fallu que l’affaire migre à la cour d’appel de Rennes pour qu’il y’ait en vain une reconnaissance des faits de discrimination.

Puisque je parlais d’une répétition de l’histoire dans certains cas dans mes exemples, il convient que je n’oublie pas d’évoquer le fameux cas de l’affaire du capitaine Dreyfus qui comme par hasard a vu le dénouement au même tribunal de Rennes.

Ce n’était pas une démonstration des récurrences mais c’était une façon de dire que l’éclosion d’un système même judicaire tenait aussi d’une tradition à traiter et à trancher en toute impartialité les affaires et qu’importaient les enjeux.

En ce qui me concernait personnellement, j’étais encore trop éloigné de ces cas. Le pauvre immigré, impuissant qui s’est vu à longueur de temps des refus d’enregistrements de plainte pour discrimination puis un classement sans suite de l’affaire auprès du procureur ne risquait pas encore d’espérer une pareille issue. Je n’étais non plus ni madame Mettetal qui est autochtone et valeureuse ni le capitaine réhabilité qui était courageux et digne. Je ne suis que w, l’étranger, c'est-à-dire celui qui était devenu clandestin au cœur d’un litige ayant vu le déchainement des méthodes et des moyens disproportionnés, c'est à dire des méthodes d’un autre âge.

Monsieur Gérard CAMBROUX le policier feignait toujours ne pas connaître l’article 441.1 du code de procédure pénale.

-ça parle de quoi ? Me disait-il comme pour voir ma réaction.

Je n’étais pas là pour lui réciter un article du code pénal qu’il était lui même sensé me renseigner sur son existence et les conditions de son application.

-Je ne sais pas de quoi ça parle monsieur. Mais je suis sûr qu’il existe bien et que j’en ai subi par voie de conséquence le préjudice. Je lui avais répondu. Il se relevait à nouveau, allant faire un tour dans le bureau à proximité où fusaient les voix qui me chahutaient.

A son retour dans le bureau, il tenait le code pénal à la main. Je savais d’ores et déjà que la scène serait longue et qu’il pouvait toujours y avoir une surprise au bout.

L’ouverture de la bible de la loi pénale avait permis d’accéder directement à la page affairant aux fraudes et aux faux.

Je lui répétais « l’article 441.1 » et j’indexais de mon doigt pour le faire voir qu’il était pile poil dessus.

Il lisait à haute voix. Pour ma part j’avais déjà procédé à la lecture de l’article chez moi sur la toile.

Lorsque ces questions devenaient répétitives comme si son but était de comprendre les motivations de l’université les amenant à falsifier mes notes.

-Pourquoi auraient-ils fait ça ? Il répétait sans arrêt

Je n’avais qu’une envie à ce moment précis, c’était qu’il saisisse la plainte et que je déguerpisse de ce lieu.

A ma grande surprise, le policier refusait d’enregistrer la plainte. Les voix fusaient à nouveau. Je pouvais entendre de vives voix toujours dans le bureau à proximité.

-Eh oui c’est une solidarité administrative. Je soutenais et j’insistais sur le fait de l’existence des preuves à l’appui que je lui montrais ainsi que de l’article de la loi relatif à ce type de délit.

Il me proposait finalement de saisir qu’une main courante. Tout devenait long et insoutenable dans ce bureau avec le policier. Je n’ai eu de choix que de me résigner à nouveau. La main courante était suffisante puisque je ne pouvais forcer le policier d’enregistrer une plainte.

Parallèlement, j’avais remarqué par ailleurs un autre fait nouveau qui m’avait interpellé. Ils avaient eu le temps de coller une affiche sur laquelle, il était inscrit le nom du capitaine PENSEC ainsi que celui du commissaire de police judicaire, Frédérique POLLOZEC en gros caractère de façon à ce que je puisse y voir clairement.

Etonnement, ni l’un ni l’autre ne s’étaient montrés à moi pendant toute ma présence au commissariat. Je ne savais plus qu’est ce qu’il en était de la plainte par laquelle je m’étais constitué partie civile contre ce commissaire et son capitaine. La plainte initiale auprès du procureur de la République qui évoquait sa présence au resto du cœur avait connu un classement sans suite. Je ne comptais plus sur celle auprès de la juge d’instruction. En effet, si le premier avait consisté à une logorrhée confuse et superflue à en dénoncer les faits, la deuxième était entachée d’erreurs.

Ces écoutes d’émissions radiophoniques avaient fini par m’étourdir et m’aliéner. Elles avaient usage de revendiquer ce prénom, Philippe, qui ne me quittait plus. Le nom du commissaire POLLOZEC lui je le connaissais par chœur. C’était lorsqu’il n’était pas obligé de lui affecter un prénom à ce nom que je ferai une erreur qui je ne pense pas constituer un vice juridique au fond. A cela je n’avais pas pris assez de précaution et d’attention. Je n’avais pas pris assez de distance et de patience pour identifier clairement et engranger au maximum le recul nécessaire. Car il aurait suffit que je me remémore que le Philippe en question, c’était le professeur de mécanique de l’université Bretagne sud qui était mis en avant. Dans ce tourbillon médiatique dans lequel j’étais empêtré, il était évident qu’une souris de laboratoire aurait fini par perdre la tête. Et le pire dans tout cet abattage médiatique, c’était que tout le monde argumentais en évoquant le nom du procureur de la République. Au fond, ce qui était normal, parce qu’il est quelque part le garant du respect de la loi et des droits.

Maintenant parmi tous ceux qui avaient le pouvoir de police tout confondu, la vérité c’était que l’émergence d’un tel système permettait un sérieux laisser-aller sur les agissements. Le camouflage des uns et des autres derrière le système est consternant.

Par ailleurs, les autorités en place avaient pris le soin de restreindre l’accès de l’organigramme de la direction département de la sureté publique dont dépend le commissaire Frédérique POLLOZEC sur le site internet de l'Etat dans le Morbihan.

D’ailleurs une modification de cet organigramme sera effectuée le 07 février 2012 sans pour autant que le nom du commissaire n’apparaisse. Comme finalement monsieur CAMBROUX acceptait de m’enregistrer une main courante, je la saisissais dans la main et je m’en allais de ce lieu.

J’étais au siège de l'Etat dans le Morbihan. A la sortie de l’hôtel de police, je traversais le haut lieu de la sous préfecture contigu au palais de justice à l’angle de la rue du Maitre Esvelin. Tous ces sièges me laissaient un gout amer.

J’accédais aux artères de la ville, les employés municipaux, c'est à dire les employés du maire Norbert Métairie qui lui aussi disposait des pouvoirs de police, étaient parmi les citoyens déferlant dans les artères du faubourg.

Je m’éloignais ainsi du siège du système. Il me fallait désormais beaucoup plus d’attentions et de précautions. Il y’avait cette nécessité de patience et d’abnégation.

Je regagnais mon appartement encore et toujours hermétique. A coup de persécutions hertziennes et face aux violences sonores satellitaires.

Je pouvais encore suivre les émissions politiques. Pour une fois, c’était concernant les discours de campagne électorale de la présidentielle précédente de 2007. A la fin de chaque discours des candidats républicains, il se tenait ces paroles…

Vive la République ! Vive la France ! C’était presque un rituel républicain où tous les acteurs de la cinquième République s’y prêtaient.

A défaut d’être français, ma foi aux valeurs de cette République est profonde et inébranlable.

Je finirai moi par dire. Vive la Liberté ! Vive l’Egalité ! Vive la Fraternité. Ce sera tout ce qu’il me faudra pour poursuivre mon espérance. Celle qui me permettra d’écrire avec détermination et abnégation les suites des pages de ma conquête plutôt que de ma lutte. Celle qui consistera à ce que je conquiers la juste justice, l’honneur et la dignité.

Vive la liberté ! Vive l’égalité et vive la Fraternité !!!

(FIN DU RMAN AUTOBIOGRAPHIE LECLANDESTIN ET L'ETAT ici on est souverain moi Humanis numeris de la police nationale numeraire et nebulis du FIP FRIP et du regiment militaire de police FRICP moi ancien du regimet de la paix RC saumur GRASSET regiment trasnmission et de caallerie de saumur et moi EXCTAURIUS auteur de harry potter e merite le respect par les polices auteur de la BD SAMBA et de KIRIKOU sous Soy auteuret numerair du seigneur des anneaux et auteurde Terminator le film La trilogie je réclamme le retour en France. j'ai fait le boulot comme promis en 1991 au quartier Liberté mon numeraire et nebulis de Tambacounda j'ai investis et infiltré en tant que que psy 12 8+psy4 de la rime et psychanaliste pour conserver mon titre de psyschologue et psychanaliste. si je fais la répblique en traité ou essai je gagne le paris avec le commissariat residence kolda et tambacounda en ligne Dakar Commissariat de police residence aussi demande à maraabout 7 seven7 kool coksis mon oeuvre partagee avec genesis Abdou Diou moi le fondateur et createur PBS positive black soul decouvrant depuis hier en investigation mn oeuvre HLM PERFORMANCE A SARE KEMO et seul donc BIBI ET UNE SALOPE LA FILLE DE KEMO M4AYANT TRAHI 0 paris et KEMO LEMNABLE CAPITAINE DE BAT6 VENU ME trouve à la zone 4 que j'ai fait commandant de corps puis colonel bat train et DCM puis directeur du personnel miitaire j'ai trouvé le monument devant camp militaire quartier Doumassou oups sikilo escale sare moussa avec BRESSE 19 ET FRATERNITE ET SOLDARITE MON OEUVRE MUSICALE CHANTEE PAR YOUSSOU NDOUR AVEC LA MARINE ANTIONALE DANS LE VARS 83 BABACAR GUEYE LE SAIT MINABLE DE KEMO ET DE SOLDATS JE SUIS VOTRE DIEU PRO DES TIT TAA TII TRANSMISSION ET DU REGIMENT MEMOIRE CAPITAINE MAMADOU DIENG DIT DIOP LE ET RESPECT CAPTAINE DINAN DE L-AUTRE COTE DE LA VILLE J-A TROUVE FIRDU HOTEL TOUTE MON OEUVRE HLM PERFORMANCE CHANTE PAR SINIK RAP FRANCE MON OEUVRE SECULAIRE DONT LA RUSSIE GARDE UNE COIE MA FO ET MON RESPECT POUR L-ADMINISTRATION ET LA POLICE NATIONALE ET LES IMPOTS J-AI TROUVE MONMARCHE NAVETANES ET CHAMBRE DES METIERS ET TOUT EST A REPRENDRE POUR UN NOUVEAU KOLDA MANIANG GUISSE MA ATTENTE POUR LES DIPLOMES DEVANT ETRE PASSES ET RAMATOULAYE FALL ATTENTAT A LA SOUVERAINT ET A INTEGRITE TERRITOIRE LA MAGI NOIRE EGNE ATTENTION AU VOLS DE DENTS ET PISSE DE BIQUET SEQUESRATIONS VOLSDE VETEMENTS ET DE MANUSCRIT DONT MON COMPTE DEPUIS RETOUR DE FRANCEE T HOSPITALISATION FANN ALORS QUE JAI CRE LE SERVICE NATIONAL HYGIENE MOI TITEUF SOUS AUTEUR TALA CRATEUR ET NUMERAIRE DU FILM TROIE ET DE LA THEORIE DES FEUVES PERCANTS ET OU NOURISSANTS DEMANDER A MARTINE AUBRY FRANCE. J-AI TROUVE LA BOULANGERIE LA MANNE ET LE NUMERO 5 GOUVERANCE ET MOI 1 AS ET AMEL BENT MUSICIENNE FRACNE RNB MON NEBULIS ET NUMERAIRE VOLEJE SUIS LE MONDE IMMA BE BLACK EYED PEAS AVEC MON GENESIS ABDOU DIOUF A QUI JE REITERE MA FIDELITE ET BRUNO DIATTA ET MA CHERE ISABELLE QUE JE CHANTE DANS UN TITRE DE PBS POSITIVE BLACK SOUL DAW THIOW.... HLM PERFORMANCE DONT AUTRE BOUT A SIEGE GOUVERANCE ET IL RESTE A ILLUMINER LES DIODES POUR E CONCERT DES NATIONS ET LE JEU DES SIMS MOI CREATEUR DE ARCHI CONCEPT LE MAITRE DOUVRAGE ET ARCHI ART L-ARTISTE DEMANDE A RONALDO ET OU BARCELONE OU LE BRESIL JE SUIS LE NUMERAIRE ET AUTEUR DU FILM SEIGNEURDES ANNEAUX ET DE TROIE LE FILM POUR INVESTIR LES NIVEAUX ET CUEILLIR LES ORS LES NOTES ET LES FRUITS DU TRAVAI LPAS BESOIN DE PASSER PAR LE SERVICE D-ORDRE ET JAI FAIT ESSAI SOCIOLOGIE A NOUVEAU SUR MON BLOG)

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Born
Jul 19, 1980
KOLDA

Submitted
on July 29, 2017

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